le coup d’Etat celui d’une extrême-droite raciste, immonde de bêtise et d’inhumanité qui ose affirmer sa suprématie, de Trump à La Bolivie, partout les poètes chantent la résistance, celle des exploités et de leur antique civilisation . Ecoutez le vice président Alvaro Garcia Linera et pablo neruda affirmer ce combat culturel contre le racisme imbécile d’un capitalisme en bout de course, le communisme est aussi une civilisation qui se nourrit de toutes les expérances des peuples. (note de Danielle Bleitrach)
Voici ce que vient de déclarer l’émule de Trump que les golpistes ont prétendu installer au pouvoir:
C’est ce dont nous vivons, les temps difficiles.
C’est ce dont nous nous alimentons, les temps difficiles.
Ne venons-nous pas d’en-bas ?
Ne sommes-nous pas les persécutés, les torturés, les marginaux des temps néolibéraux ?
La décennie d’or du continent n’était pas gratis.
Elle a été votre lutte, celle d’en-bas, des syndicats, de l’université, des quartiers,
celle qui a donné lieu au cycle révolutionnaire.
Cette première vague n’est pas tombée du ciel.
Dans nos corps, il y a les traces et les blessures des années 80 et 90.
Et si aujourd’hui, provisoirement, temporairement,
nous devons retourner à ces luttes des années 80, 90 et 2000 :
Bienvenue !
C’est fait pour ça, un révolutionnaire.
lutter, vaincre, tomber, se relever.
Jusqu’à ce que se termine la vie, voilà notre destin ».
De eso vivimos, de los tiempos difíciles,
de eso nos alimentamos, de los tiempos difíciles.
¿Acaso no venimos de abajo,
acaso no somos los perseguidos, los torturados, los marginados, de los tiempos neoliberales?
La década de oro del continente no ha sido gratis.
Ha sido la lucha de ustedes, desde abajo, desde los sindicatos, desde la universidad, de los barrios, la que ha dado lugar al ciclo revolucionario.
No ha caído del cielo esta primera oleada.
Traemos en el cuerpo las huellas y las heridas de luchas de los años 80 y 90.
Y si hoy provisionalmente, temporalmente,
tenemos que volver a esas luchas de los 80, de los 90, de los 2000,
Bienvenido.
Para eso es un revolucionario.
luchar, vencer, caerse, levantarse.
Hasta que se acabe la vida, ese es nuestro destino ».
Après l’ascension du Machu Picchu le célèbre poète chilien, Pablo Neruda revint impressionné et bouleversé.
Il écrivit ceci : « Machu Picchu est un voyage à la sérénité de l’âme, à la fusion éternelle avec le cosmos, là-bas nous sentons notre propre fragilité. C’est une des plus grandes merveilles d’Amérique du Sud. Un havre de papillons à l’épicentre du grand cercle de la vie. Un miracle de plus. »
Voici également un extrait d’un poème inspiré par le site. « LES HAUTEURS DU MACHU PICCHU » extrait du Chant Général
Alors j’ai grimpé à l’échelle de la terre Parmi l’atroce enchevêtrement des forêts perdues Mère de pierre, écume des condors. Ceci fut la demeure, il reste l’endroit : Je regarde les vêtements, les mains, Et l’air passa avec ses doigts
______________________________ (1) scalaire : (math) Terme qualifiant une grandeur mathématique qui est totalement déterminée par sa mesure..
mais il faut encore compléter parce que cette métaphysique matérialiste d’une essence si élevée par rapport à la bigoterie des tartuffe et des membres du Klan, des inquisiteurs de toure espèce, elle part de la conscience de la relation entre la nature et le geste anonyme de celui qui bâtit cette merveille : lturas de Machu Picchu Sube a nacer conmigo, hermano. Hauteurs de Machu Picchu Monte naître avec moi, mon frère. |