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la championne Olympique refuse qu’on lui arrache le drapeau de la victoire soviétique

26 Fév
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Евгений Сафонов a ajouté une photo et une vidéo.

C’est le parti communiste de la fédération de Russie et son candidat à la présidentielle qui ont proposé que puisqu’on interdisait à la délégation russe de défiler son son drapeau et on les obligeait à un drapeau blanc, ils préféraient le drapeau de la victoire de l’Union soviétique. La proposition a été reprises dans les réseaux sociaux et elle a connu un franc succès. La Championne olympique a tenu bon pour tendre le sien et affirmer qu’il s’agissait de son drapeau, celui du pays le plus grand du monde. la video montre qu’elle revendiquait cette appartenance en tendant le poing et en défiant au nom de  l’URSS.

La Championne  Olympique Gladyševa :  » je n’abandonnerai pas ce drapeau. C’est le drapeau de ma nation. La plus grande du monde ! »

Photo : Vladimir Ivanov,
La Vice-championne des jeux olympiques de 1994 à lillehammer, ex-Chef de la fédération des sports de ski de Russie, Svetlana Gladyševa, aux jeux de pyeongchang, a arboré   une copie de la bannière de la victoire –
Les représentants du cio ont essayé de lui faire enlever le drapeau  mais elle a refusé de l’enlever  et s’est battu pour continuer à le déployer. » je ne ‘vais  pas abandonner ce drapeau ! C’est le drapeau de ma nation. La  plus grande du monde ! » a-T-elle dit comme on le voit dans la video où elle s’exprime en anglais.
 
5 Commentaires

Publié par le février 26, 2018 dans URSS. Révolution d'octobre

 

5 réponses à “la championne Olympique refuse qu’on lui arrache le drapeau de la victoire soviétique

  1. Jeanne Labaigt

    février 26, 2018 at 5:52

    J’ai vu aussi que l’équipe de Hockey sur glace médaille d’or avait pendant que « l’Hymne olympique » jouait pou eux « équipe neutre »! entonné l’hymne russe, je ne sais quelle paroles ils ont chanté sur l’air qui était celui de l’URSS.

     
  2. histoireetsociete

    février 26, 2018 at 6:00

    Oui et dans la video elle dit que ce drapeau là il est allé à Berlin, c’est effectivement la copie de celui qui a été planté sur le Reichstag.

     
  3. Jeanne Labaigt

    février 26, 2018 at 6:04

    Drapeau que mon père à vu car il a été libéré par les soviétiques à Berlin, il disait qu’il en avait pleuré !

     
  4. histoireetsociete

    février 26, 2018 at 6:38

    Franck m’a demandé quand l’Humanité arrêterait sa censure contre moi, j’ai tenté d’expliquer, mais ce que je ressens est plus fort que toutes les explications, je méprise ces gens là pour ce qu’ils ont fait du parti, pour la manière dont ils jouent la légitimité pour faire tout accepter aux communistes, mais plus encore la manière dont ils se sont conduit avec le parti communiste d’Union soviétique, ceux qui trahissent leurs amis tombés dans le malheur ne méritent ni amis;ni estime alors je suis fière que ces gens là ne m’accordent rien…et ils ont bien raison de me censurer définitivement parce que rien ne pourra changer l’opinion que j’ai d’eux… Au fait savez vous commbien il y a de lecteurs à cette heure-ci sur le blog, plus de 8725 dans la journée et elle est loin d’être achevée…

     
  5. Gimenez

    mars 4, 2018 at 4:44

    Je suis une abonnée de l’Humanité et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce journal depuis qu’il n’est plus l’organe central du parti communiste français, les contenus n’ont plus le même intérêt qu’à ce moment-là et, ce, depuis la restructuration qui a débouché sur des licenciements et qui a des financements privés, ce qui fait que ce n’est plus un journal militant. J’y reste malgré tout fidèle parce que c’était le seul journal que nous avions dans la famille et que ce journal a connu bien des vicissitudes, qui a été interdit plusieurs fois et puis c’était le journal créé par Jaurès, grand partisan de la paix. Je continue plus sentimentalisme qu’autre chose.
    Cette ancienne athlète a fait preuve d’un certain courage, s’opposer comme elle l’a fait à ceux qui voulaient lui enlever ce drapeau qui représente le symbole de celui qui a été hissé sur le Reischtag, c’est là où l’on voit la méconnaissance de la mentalité russe qui consiste à ne pas plier sous le diktat qu’on a voulu leur imposer. Ils n’ont pas pas baisser pavillon face aux nazis, ce n’est pas face à ces quelques russophobes qu’ils allaient rendre les armes.

     

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