« Le réfugié a les mêmes droits qu’un citoyen argentin, il a la liberté d’expression, de déclarer, de penser et de dire ce qu’il veut. Nous n’allons pas restreindre ses libertés « , a déclaré l’autorité argentine dans une interview publiée aujourd’hui par le journal La Nación.
De cette façon, l’autorité a repoussé toute préoccupation concernant la possibilité pour Morales de faire de la politique en Argentine.
A propos de la demande du ministre argentin des Affaires étrangères Felipe Solá à Morales de ne pas faire de déclarations politiques, les médias argentins l’ont questionné: « Y a-t-il une suggestion sur ce que Evo Morales peut faire? Le ministre des Affaires étrangères Felipe Solá avait dit qu’il ne devait pas faire de déclarations politiques. »
A cela, Cafiero a expliqué: « Non, il ne pouvait pas en faire en tant que demandeur d’asile, mais en tant que réfugié, il n’a pas cette limitation. »
Hier Morales a fait sa première apparition publique dans un quartier de Buenos Aires, après son arrivée en tant que réfugié en Argentine, et il a prononcé un bref discours à ses partisans après une réunion avec une commission de membres du Mouvement pour le socialisme (MAS), à propos des élections qui auront lieu l’année suivante en Bolivie.
A peine Morales est-il arrivé en Argentine qu’il a demandé de changer son statut d’asile en réfugié. Evo a vécu près d’un mois au Mexique comme demandeur d’asile.
Morales realizó su primera aparición pública en un barrio de Buenos Aires, t
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