le gouvernement d’Iran, allié le plus sûr de Damas, est entré en contact avec les représentants de l’opposition syrienne, avec laquelle il poursuit des consultations sur de possibles négociations de paix dans ce pays arabe, selon les dires ce lundi du ministre des affaires étrangères iranien, Ali Akbar Salehi. La république islamique d’Iran a déjà établi un contact avec une part importante de l’opposition syrienne et a maintenu des discussions avec eux. Maintenant déjà nous sommes prêts à faciliter les discussions entre l’opposition et le gouvernement syrien », à dit Salehi dans une conférence de presse avec son collègue du Turkmenistán, Rasit Meredov, à Téhéran.
Selon Salehi, « les pays de la région (du Moyen Orient et du golfe persique) doivent travailler toujours la main dans la main pour chercher une voie de sortie à ce conflit afin d’assurer que le résultat soit bénéfique pour le peuple syrien, la région et la communauté internationale ». “ De toute manière, Salehi n’a pas donné de détail sur la partie de l’opposion avec laquelle est en contact l’Iran et s’il existe une possibilité quelconque de prévision sur les réunions directes entre eux et le gouvernement du président syrien; Bachar El Assad.
Hier, Salehi, a dit aux journalistes que le gouvernement de Téhéran « était prêt à se réunir avec les dissidents syriens et à les inviter en Iran afin de préparer et de faciliter le terrain pour des négociations entre les opposants syriens et le gouvernment de ce pays. »Nous espérons que le conflit (de Syrie) pourra se solutionner sans l’intervention de puissance étrangère » a ajouté Salehi, dont le gouvernement a insisté pour que les problèmes des syriens doivent se résoudre entre les syriens eux-mêmes » Téhéran désire, a dit le responsable de la diplomatie iranienne, que l’ONU et d’autres états du Moyen Orient collaborent pour « donner un tour concret à la solution du problème syrien ». Sakehi a répété que l’Iran appuyait le plan de paix du médiateur de l’ONU et de la Ligue arabe pour la Syrie, Kofi Annan, duquel il a souligne qu’ils « joue un rôle juste et impartial » par rapport au conflit, mais a regretté que certains pays de la zone « malheureusement » ne l’aident pas.
« La réalité se fait tangible et les perspectives de résoudre le conflit syrien sont trés prometteurse » a-t-il ajouté. L’Iran a réitéré son offre de collaborer à la solution du conflit syrien, mais les Etats-Unis se sont opposé à ce qu’il participe aux réunions internationales sur cette question, malgré l’insisance de Annan dans le sens de leur participation. Annan a vivité deux fois Téhéran, la dernière fois le 9 juillet, pour solliciter aide dans la recherche d’une issue négociée aà ce conflit et il a répété que l’Iran doit être partie prenante de la solution du problème syrien, malgré l’oppososition de Washington
L’Iran qui soutient Al Asad, a accusé d’une manière réitéré les Etats Unis et certains pays arabes alliés de Washington d’armer les groupes d’oppisiton syriens, qu’il considère comme des terroristes qui prétendent abattre le régime de Damas. Pour leur part, les rebelles syriens et les Etats Unis ont accusé l’Iran d’appuyer militairement le régime syrien avec des armes, des hommes et des aides.
(Con información de EFE) traduit par danielle Bleitrach pour histoire et société
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