- la seule chose que j’appréciais chez les insoumis, le courage de melenchon en matière de politique internationale est en train de disparaître et la France insoumise est désormais à ce niveau aussi grotesque que Clémentine Autain, les liquidateurs-refondateurs du PCF… leur incompétence n’a d’égale que leur suivisme de l’oTAN, dans le sillage des primes versées par l’uE à ceux qui pensent « bien ». Cela me confirme dans mon vote aux européennes, si la liste dirigée par Ian Brossat reste ce qu’elle est (malgré la prsence de deux refondateurs comme patrick le Hyaric et Marie Pierre vieu) je vote pour, si comme cela nous menace elle s’assortit d’un Benoit Hamon ou pire d’un gluksman, je mettrai dans l’enveloppe un bulletin avec écrit « que vive le PCF ». (note de danielle Bleitrach)
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LE SCAN POLITIQUE – En appelant à de nouvelles élections, elle diffère du chef de La France Insoumise qui souhaite de son côté que Nicolas Maduro «tienne» après la «tentative de coup d’état» de l’opposant politique Jean Guaido.
«Le mouvement me laisse une grande liberté. Je n’ai pas eu de media training. Ils me font confiance», disait en décembre Manon Aubry, quelques semaines après sa désignation comme tête de liste de la France Insoumise pour les européennes. L’ancienne porte-parole de l’ONG Oxfam s’y est tenue mardi matin sur Public Sénat en se démarquant de Jean-Luc Mélenchon sur la situation au Venezuela. Le pays d’Amérique du Sud connaît une période tumultueuse après que l’opposant à Nicolas Maduro, Jean Guaido, se soit autoproclamé «président» par intérim. Pour répondre à la crise politique, Manon Aubry soutient l’idée d’un retour «devant les urnes», contrairement au chef de LFI qui souhaite que le président Maduro «tienne».
«Une sortie par le haut»
Si elle considère comme Jean-Luc Mélenchon qu’il s’agit bien d’un «coup d’état», la dernière arrivée dans la maison Insoumise tempère: «Il y a eu des élections au Venezuela contestées par l’opposition. Je pense sincèrement qu’il faut une sortie par le haut et un apaisement sur la situation. (…) Il faut revenir devant les urnes si nécessaire mais il faut le faire dans les conditions sereines de la démocratie», a-t-elle indiqué, tout en estimant qu’elle n’avait «pas de position à avoir sur la politique nationale au Venezuela». «Par contre, je suis sensible au drame humain qui se passe en ce moment et qui peut conduire à une guerre civile», a-t-elle ajouté.
Reste à savoir comment les dirigeants de La France Insoumise, à commencer par le chef des troupes, accueilleront cette divergence rendue publique. D’autant que Manuel Bompard, deuxième sur la liste LFI aux européennes, n’est pas franchement sur la même longueur d’ondes. «Il y a eu une élection l’année dernière sur la base d’un référendum révocatoire et le président en place l’a emporté. Les manifestants ont le droit de manifester mais doivent rester dans le cadre de la légalité et de la légitimité démocratique», a jugé lundi sur RFI l’Insoumis qui a sa place dans le premier cercle de Jean-Luc Mélenchon.
Emmanuel Macron a annoncé que la France est «prête à reconnaître» la légitimité de Jean Guaido comme «président en charge» de son pays si des élections ne sont pas mises en place «d’ici huit jours». «Je trouve extraordinaire que le président français, qui ne veut pas dissoudre dans son pays alors qu’il a une manifestation toutes les semaines et qu’il a déjà mutilé treize personnes, veuille une dissolution chez son voisin vénézuélien», avait raillé Jean-Luc Mélenchon dimanche sur France 3.